- Par La Rédaction
- 13/12/2021 22:43
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« La paix n’est pas un rêve naïf. C’est une lueur dans l’obscurité, qui nous guide sur l’unique chemin qui nous conduira à un avenir meilleur pour l’humanité. Avançons sur la voie de la paix comme si nos vies en dépendaient. Parce qu’elles en dépendent bel et bien » tel était les propos d’António Guterres, secrétaire général des Nations Unies dans son adresse à toutes les nations, le 21 septembre 2021 à l’occasion de la Journée internationale de la paix.
Il est alors évident que le secrétaire Général de l’ONU fait une analogie entre les notions de la ‘’Paix et du ‘’Développement’’. Ainsi, tout Etat épris de la volonté de développement se doit de faire de la paix, un impératif culturel.
L’instauration de la paix est une garantie de la stabilité, elle favorise une croissance et un développement économique. C’est également la paix qui permet aux jeunes filles comme garçons qui sont la relève de demain de bénéficier d’une scolarisation efficace. C’est justement la paix qui favorise la cohésion sociale qui est un gage pour le développement durable d’un pays.
Il est donc évident que l’absence de paix engendre des maux aux effets désastreux. Elle est source d’instabilité et entrave la croissance économique. Quel que soit sa dénomination, conflit (ethnique, religieux...), violence, guerre…, l’absence de paix n’a pas de conséquences positives. Elles sont toutes dévastatrices et engendrent une insécurité qui est une réelle menace au développement.
La paix est une affaire de tous, nous devons alors œuvrer pour préserver ce joyau pour un développement durable certain.
Proposé par Mohamed Garba
